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Nos chants

 

La qualité et la variété des chants dans les archives du club sont tout simplement extraordinaires! Nous avons de véritables trésors musicaux et cet héritage folklorique est un grand privilège. Actuellement, voici les chants que nous aimons interpréter ensemble et que nous sommes ravis de proposer lors de nos prestations.

À la maison (Däheim)

F. Stadelmann texte français J.M. Berdoz 1.Quand j'étais un petit garçon avec des cheveux blonds, Je rêvais déjà d'être grand et d'avoir mes 20 ans. Je pourrais faire à ma façon ce que je veux sans pour autant rester à la maison. 2.Un jour mon grand-père m'a dit "écoute, mon petit, hier encore je jouais à tes jeux aujourd'hui je suis vieux. Passe la vie, passe le temps, reste petit le plus longtemps chez toi à la maison." 3.Maintenant que je suis plus vieux que j'ai ce que je veux, à la maison de mes parents je songe bien souvent. Tu peux me dire ce que tu veux rien ne me rendra plus heureux que ma belle maison.

Blueme

R. Kessler, P. Hofer Me gisent viel truurigs we me dur's Läbe baht. D'Lyt plagid enad und sie wärche sich z'leid. We mer de im Sarg lyd am Läbesänd drücke sie im nu schnell Blueme i d'Händ. Es git Mänge dä hed nåt s'Lache da, und es git Vieli, die chend das nid verstah, de isch es guet wenn me drüber nachdänkt, und merkt dass me Blueme de Laib geschänkt. Drum bring tier Blueme so lang i Freud cha ha, und nid erse denn wenn i muss z'bode gah. Und hat's im Läbe halt nid sellä nid sellä sy, bruch i au kei Blueme wenn i gstorbe bi.

Camarade (Kamerade)

M. Zogg texte français C. Schmied 1. Camarades réunis et parmis les sages, nous voulons rester amis aussi à l'ouvrage. Si un jour, tout te déçoit, il te faut auprès de toi Si un jour tout te déçoit, il te faut un vrai ami près de toi. 2. Camarades réunis autour d'une table, nous restons toujours unis, aussi charitables Si un jour, tout te déçoit, il te faut auprès de toi Si un jour tout te déçoit, il te faut un vrai ami près de toi. 3. Camarades réunis parmi tous les âges, aux cheveux châtains ou gris restons toujours sages. Si un jour, tout te déçoit, il te faut auprès de toi Si un jour tout te déçoit, il te faut un vrai ami près de toi.

Christbaum-jodeli

U.Koller Naturjutz

Fête à l'alpage (Aelplerchilbi)

R. Fellmann Texte français Louis Favez 1.Quand l’aube sur l’Alpe a jeté ses lueurs Je chante aux échos les rustiques splendeurs. Vachers et bergers sont en fête aujourd’hui Des jeux de l’alpage le grand jour à lui aujourd’hui Le jour des plaisirs sur nos verts coteaux Et pour nous bergers, le jour des gâteaux D’un fin nectar il faut les arroser Sans se griser il faut les arroser Sans se griser il faut les arroser 2.De tous les cotés et par monts et par vaux Viendront les danseurs, les lutteurs, les rivaux Et tous valeureux et robustes gaillards Voudront remporter le prix des Montagnards Les roublards Déjà Samy fait signe à sa Grerthli Et le grand-père a revu sa Madeli Mais le cœur du petit berger Milou Veille sur Betty car il est jaloux Veille sur Betty car il est jaloux 3.La fête joyeuse et si pleine d’entrain Au soir d’un beau jour va bientôt prendre fin Franzi, le plus fort est le Roi, le vainqueur Venez jeunes filles, chantons tous en cœur. Fleurissez-le-vous qui l’admirez tant A qui le baiser du plus méritant ? Qui veut couronner de sa douce main Ce Roi dont la gloire est sans lendemain Ce Roi dont la gloire est sans lendemain

Geburtstagsjuitz

F. Wallimann Naturjutz

Jour de mai (Mayetag)

A. Stähli texte français C. Schmied 1. Voici venir un jour de mai partout dans la nature. Le soleil brille sur les sommets, partout dans la verdure, partout dans la verdure. Le rossignol nous a chanté un beau et joyeux jour de mai. Le rossignol nous a chanté un beau et joyeux jour de mai. 2.Ce gentil souhait le matin annonce journée belle, allons voir ce beau vert satin, vraiment une merveille, vraiment une merveille. La gentiane et la jonquille le long des sentiers nous sourient. La gentiane et la jonquille le long des sentiers nous sourient. 3. Et pour fêter ce jour béni partons à la montagne, écoute l'oiseau près du nid, regarde la campagne, regarde la campagne. Et quand je suis sur ces hauteurs je chante et jutz de bonne humeur. Et quand je suis sur ces hauteurs je chante et jutz de bonne humeur.

Le vieux Chalet (das alte Hüttlein)

J. Bovet 1.Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet. Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet. Murs blancs, toit de bardeaux, devant la porte un vieux bouleau. Là-haut sur la montagne, l'était un vieux chalet. 2. Là-haut, sur la montagne, croula le vieux chalet Là-haut, sur la montagne, croula le vieux chalet La neige et les rochers s'étaient unis pour l'arracher. Là-haut, sur la montagne, croula le vieux chalet. 3. Là-haut, sur la montagne, quand Jean vint au chalet Là-haut, sur la montagne, quand Jean vint au chalet Pleura de tout son coeur sur les débris de son bonheur. Là-haut, sur la montagne, quand Jean vint au chalet 4. Là-haut, sur la montagne, l'est un nouveau chalet Là-haut, sur la montagne, l'est un nouveau chalet. Car Jean d'un coeur vaillant, l'a reconstruit plus beau qu'avant. Là-haut, sur la montagne, l'est un nouveau chalet.

Mon voeu ( e Wunsch)

R. Fellmann texte français C. Schmied 1.Le printemps vient de renaître, Dans les bois et dans les cœurs. Il apporte à tous les êtres, Une nouvelle vigueur. 2.Le taillis à chaude haleine, Se prépare u renouveau. Le feuillu sort de sa gaine, Pour reverdir les coteaux. 3.Les oiseaux pour l’hyménée (chant nuptial) Ont trouvé un coin fleuri. Fous d’amour dans la feuillée, Ils gazouillent près des nids. 4.Vivre en paix dans l’harmonie, D’un printemps si radieux. Comblerait bien pour la vie, Le plus cher de tous mes vœux.

Quand les hirondelles s'en vont (we d'Schwälbeli i Süde zie)

A. Stähli texte français J.M. Berdoz 1.Quand les hirondelles s'en vont, j'ai dans ma tête l'impression Comme elles, je voudrais m'envoler et ne revenir qu'en été. Comme elles, je voudrais m'envoler et ne revenir qu'en été. 2. Hirondelle prend moi sur ton dos, tous deux nous partirons là-haut. Et quand le printemps reviendra alors tu me ramèneras. Et quand le printemps reviendra alors tu me ramèneras. 3. Mais l'hiver qui était si dur, laisse la place à la verdure. Je suis bien heureux d'être ici, de vivre dans mon beau pays. Je suis bien heureux d'être ici, de vivre dans mon beau pays.

Sur l'Alpe

O. Ruffieux A. Jaquet 1.Ah! quand revient la douce aurore levant mes yeux à l'horizon Emerveillé j'admire encore, les fiers sommets au vert gazon. Emerveillé j'admire encore, les fiers sommets au vert gazon. 2. Joyeux troupeaux de nos alpages, vous égayez les armaillis. Redites-le en vos langages, Ah! qu'il fait bon près des vanils. Redites-le en vos langages, Ah! qu'il fait bon près des vanils. 3. Lyoba joyeux, douce romance, gaité du soir près des foyers. Vous rappelez de mon enfance, des souvenirs trop oubliés. Vous rappelez de mon enfance, des souvenirs trop oubliés.

Waldfride- Jutz

H. Güller Naturjutz

Z'Alp

R. Fellmann texte français C. scheide 1.Mes vaches jolies vers l’Alpe fleurie partons De l’aube indécise troublant la fraîcheur l’appel du cor sonne soudain Vite accourez toutes et venez sans peur ! De l’Alpe prenons le chemin ! (le chemin) Voici le jour Montons toujours 2.Mes chèvres jolies vers l’Alpe fleurie partons Folâtres, pimpantes, la barbiche au vent À la suite du chevrier Tête basse cornes pointées en avant ! De l’alpe montez le sentier ! Voici le jour Montons toujours 3.Mes brebis jolies vers l’Alpe fleurie partons Obeissant à la voix du pastoureau Le mouvant troupeau sans arret Bercé par les sons flutés du chalumeau ! De l’Alpe gravit le sommet ! Voici le jour Montons toujours

Bärgchilbi-Jutz

A. Stähli Naturjutz sans parole

Berger debout (Bärgmorge)

P. Müller-Egger texte français M. Monnier 1.Berger debout, debout L’étoile expire, la nuit s’enfuit A ta fenêtre l’aube luit La paix du Ciel est sur ta maison Et se répand jusqu’au vaste horizon. Berger debout, debout, debout 2. Berger debout, debout L’ombre est mourante dans le lointain Déjà les lueurs du matin Ont annoncé le joyeux retour Riche en promesse du plus heureux jour. Berger debout, debout, debout 3. Berger debout, debout Belle campagne séjour Divin Montagnes, torrents et ravins Pays aimé de la liberté Le Ciel te garde dans l’éternité. Berger debout, debout, debout

C'est en chantant

à completer 1. C'est en chantant, c'est en jutsant, que nous vivrons dans la joie. Sans retenue aimons la vie, elle fuit rapidement. Dès que le soleil paraît, sois heureux de ses bienfaits. 2. C'est en chantant, c'est en jutsant, que nous serons plaisantins. Plus de peine, plus de larme, jamais plus être chagrin. Ton quotidien naît sans charme, vas gaiement vers ton destin. 3. C'est en chantant, c'est en jutsant, que nous serons sans soucis. Et qu'ensemble, émerveillés, auront plaisir à la vie. Quand la brume étend sa paix, chantons notre espoir vivant.

Dr Bürgästöckler

F. Wallimann Naturjutz

Flüehbliemlijuitz

F. Wallimann Naturjutz

Je pars, Adieu campagne

Schmalz- Krenger J. Bovet 1.Je pars, Adieu campagne Je monte au vieux chalet. Que je l'aime, ma montagne, c'est là-haut que tout me plaît c'est là-haut que tout me plaît 2.Je vais avec mes vaches chantant des airs joyeux Du village, je m'arrache pour grimper tout près des Cieux. Pour grimper tout près des Cieux 3. Plus tard, avec l'automne Hélas ! Faudra rentrer À mon Alpe, que Dieu donne l'herbe épaisse des bons prés. L'herbe épaisse des bons prés.

​Läbesgschicht

U.Moor Naturjutz

Les cloches du soir (Aabeglogge)

E. Sommer texte français W. Rüfenacht 1.Le monde est las de toutes ces guerres, tant de larmes et de chagrins. Quand le soir sonnent les cloches, tu ressens, la paix la joie. Tu ressens, la paix la joie. 2.De la forêt une paix intense vient et glisse autour de toi. Et de la vallée profonde, tu entends les cloches du soir. tu entends les cloches du soir. 3.Pour la Paix sur cette Terre aux malades et bien portants. Disons un Merci sincère. Peuple vient, chante avec nous, peuple vient chante avec nous.

Pays de rêve

W. Rüfenacht 1. Doux berceau de mon enfance, qu'il est bon de te revoir. Je t'aime avec constance, d'y rester, mon grand espoir. D'y rester mon grand espoir. "J'aime bien tes villages au flancs des coteaux. Tes châteaux, tes villes et autres hameaux. Les roches des montagnes, leurs fleurs et leurs neiges. Mon Pays que j'aime, mon pays de rêve." 2. Qu'il est beau ce coin de terre, pour mon coeur qu'il a de prix. Ce que j'ai, ce que j'espère, je le dois à mon pays. Je le dois à mon pays. "refrain" 3.Mais bien loin s'enfuit mon rêve, mon beau rêve d'un instant. Le nuage qui s'élève, disparait au gré du vent. Disparait au gré du vent.

Sierra Madre del sur

W. Roloff & H. Hee texte français F. Isler Quand le jour se lève que les dernières ombres s'en vont. Les hommes lèvent les yeux vers la montagne aux cimes ensoleillées. Ils admirent le vol du blanc condor solitaire. Comme un salut au soleil résonne, leur vieille chanson. 2.À la mi-journée le labeur s'arrête un instant, et les hommes tournent leurs regards vers le glacier brillant. La journée sera belle, le monde se réunit. Toutes les cloches de l'église le disent dans tout le Pays. 3.Au soir c'est la paix quand le travail est terminé, les hommes lèvent les yeux vers la montagne qui brûle au crépuscule. ils pensent à quel point souvent le bonheur s'en va. De mille coeurs résonne une prière qu'on chantera.

Un chant qui réjouit le coeur (Es Lied wo ds Härz erfreut)

A. Stähli texte français C. Schmied 1. Je me souviens de mon jeune âge, sous l'avant toit de la maison. Je n'étais pas toujours bien sage avec ma soeur et les garçons. "Je me souviens d'un jour de fête, assis sur le balcon fleuri. Et nous étions heureux poètes, d'entendre un chant de nos amis. Et nous étions heureux poètes, d'entendre un chant de nos amis." 2. J'étais heureux près de ma mère, dans la maison de mes parents. Un beau petit coin de la Terre, le plus coquet le plus charmant. "Un jour j'étais près de ma belle, assis sur un vieux banc de bois. Nous regardions les hirondelles qui survolaient notre grand toit. Nous regardions les hirondelles qui survolaient notre grand toit." 3.Et bien souvent dans mon jeune âge, j'aurais chanté par le beau temps. Je teins à rendre témoignage à mon Pays que j'aime tant. "Je veux donner à tout le monde, un chant qui réjouit le coeur. La vie est triste et inféconde sans l'harmonie de nos chanteurs.La vie est triste et inféconde sans l'harmonie de nos chanteurs."

Wengernalpjodel

R. Fellmann Naturjutz

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